Smog sur la ville de Beijing |
C’est mon dernier voyage à Beijing, en Chine, qui
m’a inspiré ce texte. Lorsque je suis arrivé là-bas, on voyait à peine le ciel,
malgré que la température fût « dégagée ». Il faisait chaud, pas très
humide, mais on peinait à voir le ciel à travers le brouillard grisâtre de la
pollution de Beijing. En effet, la région de Beijing est enveloppée dans un
smog épais qui fait en sorte que l’on voit rarement le bleu du ciel, tel que
l’on le connait chez nous, au Québec. Bien sûr, il y a la pollution qui vient
des industries lourdes et celle des automobiles dont le nombre augmente à tous
les jours, mais il y a aussi la poussière qui vient du nord-ouest de Beijing.
En effet, cette région située à quelques centaines de kilomètre de la ville a
tellement été utilisé intensivement pour l’agriculture et l’élevage, que c’est
presque rendu une région désertique. Et c’est de là que provient une bonne
quantité de la poussière qui compose le smog de Beijing.